Il y en aura pour tout le monde, ne vous bousculez pas, réalisation photographique, audiovisuelle, cinématographique même, inspection et surveillance, thermographie, orthophotographie, agriculture… La gamme des drones DJI Mavic 3 est très complète.

Bienvenue à toutes et à tous sur Monsieur Jesaistout, la chaine YouTube et désormais le site internet, je suis Alexis, instructeur et télépilote drone chez Axiale.

Dans cet article, on va décortiquer les spécificités et les fonctionnalités de ces Mavic. Si certains peuvent être polyvalents entre activités, d’autres en revanche sont très spécifiques, dédiés. Deux d’entres eux sortent clairement du lot.

Présentation complète et détaillée de la gamme des drones DJI Mavic 3, c’est parti !

Nul besoin de vous présenter DJI, le leader sur le marché des drones civils dans le monde, depuis plus de 15 ans, ils assomment le marché avec des innovations très régulières, faisant du drone un outil et un allié idéal pour de nombreuses activités.  

Depuis quelques mois, ces innovations se sont davantage tournées vers le marché professionnel, rendant certaines innovations plus accessibles financièrement ou techniquement en aérien. Je pense à la thermographie, aux relevés topographiques qui manquaient encore de précision il y a quelques mois de ça, l’inspection des édifices, l’analyse des cultures, la réalisation de diagnostic thermique…

Voici les différents modèles que je vais vous présenter, dans l’ordre de la hiérarchie : 

  • le Mavic 3 Classic 
  • le Mavic 3 dit « standard »
  • le Mavic 3 Enterprise
  • le Mavic 3 Thermal
  • le Mavic 3 Multispectral, que j’ai piqué à Flying Eye pour ces tests
  • le Mavic 3 Ciné très proche du standard pour ces particularités.
Drones DJI MAVIC 3

On va démarrer par détailler leurs points communs avant que je vous présente leurs spécificités.


Points communs de la gamme Mavic 3

Ils se ressemblent tous : le coloris gris foncé très sobre a été bien choisi. Le design lui aussi a été bien étudié. Pas d’erreur majeure, les drones peuvent être repliés et placés dans leur valise de transport sans démonter les hélices, installation facile en 1/4 de tour, ce sont les mêmes pour tous les modèles, comme les batteries, on y reviendra.

Seul bémol que tente de combler DJI, ce sont les protections de nacelles, tantôt muselière, tantôt cache plastique, ce n’est pas toujours simple à mettre en place, ce n’est toujours pas l’idéal.

Au dos : on trouve la petite trappe où se cache l’emplacement de la carte micro-SD, qui enregistre les images du capteur et le port USB-C, pour la recharge et les mises à jour.

Ils disposent tous d’une protection avec des capteurs d’évitement d’obstacles omnidirectionnels avec le système APAS 5.0. C’est très rassurant, ils détecteront les obstacles pour éviter toutes collisions. Ces capteurs permettent également un RTH avancé, entendez par là que lors du déclenchement du RTH, le Return To Home, le drone en retournant à son point de départ contourne les éventuels obstacles qu’il rencontrera.

Cette sécurité s’enclenche à tout moment du vol par une simple pression de quelques secondes sur le bouton RTH, peu importe la radiocommande utilisée, ou en cas de perte de signal, ou encore de batterie faible. Rassurez-vous, si vous comptez l’utiliser en bateau, vous pouvez choisir son état et décider de le faire rentrer où se trouve la radiocommande, et donc le télépilote, si vous avez bougé entre temps ou de le laisser en vol stationnaire jusqu’à épuisement de la batterie. Il se posera ensuite seul, peu importe ce qu’il y a en dessous.

Les drones DJI Mavic 3 Enterprise et Thermal disposent d’une led de signalement à l’arrière

L’autonomie : la batterie justement, un seul et unique modèle de 5000 mHa, pour une autonomie annoncée à 40, 43, 46 même, selon les modèles, minutes de vols. En fait, 35 effective, ce qui est excellent, pour 90 minutes de charge. Soit vous la chargez dans le drone, via le port USB-C, caché derrière la trappe, au côté de l’emplacement pour la carte MicroSD, soit via le chargeur classique ou le hub de chargement multiple. 

Attention, il les chargera une à une. Vous avez des chargeurs multiples comme celui-ci qui les charge toutes en même temps.

Cette autonomie peut varier légèrement de quelques minutes en fonction du modèle et des accessoires qui l’embarque ce qui fera légèrement varier le poids du drone, on y reviendra individuellement.

Quelques légères différences esthétiques : le Mavic 3 Classic ne dispose bien sûr pas de capteurs périphériques, je vous l’ai dit, lui et le Mavic 3 n’ont pas n’ont plus de Beacon, la LED de signalement très puissante que l’on retrouve sur le Mavic 3E, Enterprise, et le Mavic 3T, Thermal, remplacé sur le Mavic 3M, Multispectral, par le capteur d’ensoleillement.

Autre différence minime esthétiquement, mais qui a son importance dans les usages professionnels, le slot de fixation pour Payload sur les Mavic 3 Enterprise, de la gamme professionnelle donc, qui via le port USB-C, permet d’ajouter le module de positionnement GPS, un haut-parleur, une torche LED ou tout autre accessoire. Il y en a de plus en plus.   

DJI Mavic 3 Multispectral (Mavic 3M) et Mavic 3 Thermal (Mavic 3T)

Ceux de la gamme Loisirs en sont dépourvus.

La transmission : que ce soit la technologie O3, O3+ ou O3 E, Enterprise, ça ne change pas grand-chose pour un usage régulier en France. L’Ocusync 3 utilise les fréquences 2,4 et 5,8 Ghz en dual bande qui permettent une utilisation en Europe jusqu’à 8 km et 15 dans le reste du monde.


Radiocommandes gamme DJI Mavic 3

Il en existe 4 pour contrôler les Mavic 3 :  

  • la RC-N1 
  • la DJI RC
  • la DJI RC Pro
  • la DJI RC Pro Enterprise

Radiocommande RC-N1 : utilisable avec le Mavic 3 Classic et le Mavic 3 « tout court » désormais surnommé plutôt Mavic 3 Standard. Personnellement, je n’aime pas utiliser cette radio, je vous l’ai déjà dit dans l’article de présentation détaillé de la DJI RC Pro

Je la trouve déséquilibrée, je ne trouve pas ça très professionnel de devoir toujours installer son smartphone dessus pour l’utiliser. Ils ne sont d’ailleurs pas tous compatibles, vérifiez bien dans la liste mise à disposition par DJI, et en plus ça le déséquilibre.

À contrario, chacun ses goûts, certains vont la privilégier. Testez-les pour vous faire votre propre avis.

Radiocommande DJI RC : elle est la première de la gamme à disposer d’un écran de 5,5 pouces, comme les suivantes, mais sa luminosité est réduite à 800 nits, ce n’est pas mal, mais pas optimal. Ses antennes sont intégrées, la portée du signal peut parfois, légèrement être saccadée lorsqu’on fait le dingue en distance ou dans un lieu à fortes interférences. 

Je la trouve plutôt agréable à utiliser, pas de difficulté majeure, ses sticks « entrée de gamme » sont identiques à la RC-N1, pas de prise HDMI en sortie, mais ça rend accessible les radios avec écran.

Radiocommande DJI RC Pro : elle ressemble presque trait pour trait à la DJI RC PRO Enterprise. Elle dispose d’antennes externes pour une transmission optimale, une sortie HDMI, le port micro-SD pour enregistrer votre retour, bien que ce soit réduit à une résolution de 720P, pour enregistrer l’écran aussi dessus, et même pour y ajouter un micro externe via le port USB-C afin de commenter vos images ou même l’utiliser avec le haut-parleur en accessoire, comme celui que j’utilise pour cet enregistrement le DJI Mic.

La RC Pro est compatible avec le Mavic 3 Classic et le Mavic 3.

Radiocommande RC Pro Enterprise : elle dispose, en revanche d’un microphone intégré. Sa luminosité de 1000 nits lui permet un écran plus lumineux que la DJI RC

La DJI RC Pro Enterprise commande les modèles DJI Mavic 3 Enterprise, Thermal et Multispectral.

La DJI RC Pro Enterprise du Mavic 3 Multispectral, Enterprise et Thermal

Donc si vous souhaitez une seule radiocommande pour commander plusieurs de vos drones, vous pouvez, dès lors qu’elle est compatible avec le modèle.

Cela n’a cependant, pour l’heure, aucun intérêt pour deux raisons : vous devrez les apparier à chaque utilisation avec le drone utilisé et les drones de la gamme Enterprise sont systématiquement livrés avec une radiocommande.

Ceux de la gamme Consumer, grand public, c’est différent. Vous pouvez acheter le Mavic 3 Classic, sans radiocommande ou avec la RC N1 par exemple, et l’appairer avec la DJI RC ou RC Pro au besoin.

Est-il possible d’utiliser la DJI RC Pro Enterprise à la place de la DJI RC Pro, ou vice-versa? Et bien non!
C’est pour cela que je vous ai indiqué qu’elles n’étaient pas compatibles, principalement à cause d’une bonne raison : l’application qui les commandes.

Sur la gamme grand public, plutôt destinée aux créateurs, à l’audiovisuel, photo et vidéo, l’application est DJI Fly. Tandis que pour la gamme professionnelle, il s’agit de DJI pilot 2 qui permet la planification des vols et leur organisation, notamment pour les missions de photogrammétrie, ou le visionnage des images thermiques pour le M3T, ou encore multispectral pour le M3M

J’en reparlerais dans les articles de présentation individuelle de ces drones.

Je vous rassure, contrairement aux logiciels de traitement des données, la plupart du temps, ces deux applications sont en français, très simples à utiliser et très intuitives. DJI rend ses drones de plus en plus accessibles pour se concentrer sur l’essentiel, la sécurité, le plaisir et la production lorsqu’on est un pro.


Capteurs des drones DJI Mavic 3

Le Mavic 3 Classic

Il pèse 895 grammes, c’est une version allégée du Mavic 3. Il embarque un unique capteur Hasseblad de 4/3, c’est sa taille, et fait 20 MP. Pour info et pour les puristes, il s’appelle le L2D-20C, exclusif à la gamme Mavic 3

Il dispose d’une ouverture variable de f2,8 à f11, une focale équivalente à 24mm et un obturateur électronique.

Il propose l’enregistrement d’images vidéo jusqu’en 5,1K à 50 images par seconde, du 4K à 60 images par seconde. Une excellente machine pour la prise de vue aérienne, photo et vidéo. On peut même l’acheter en machine de spar, de remplacement, sans radiocommande.

Le Mavic 3 « Standard »

Il pèse lui aussi 895 grammes. Il embarque le même capteur 4/3 que le Mavic 3 Classic, avec un enregistrement vidéo jusqu’en 5,1K à 50 images par seconde et jusqu’à 60 images par seconde en 4K avec en plus, un téléobjectif d’1/2 pouce, toujours en capteur CMOS, de 12 MP, hybride, jusqu’à 28 fois, équivalent à un objectif de 162mm en plein format à une ouverture de f4.4. C’est idéal pour des premières missions d’inspection. 

Capteurs HASSEBLAD du Mavic 3 Enterprise, Mavic 3 (standard) et Mavic 3 Classic

Le Mavic 3 Ciné

Il pèse 899 grammes, il est absent, mais excusé vu son tarif. Il a presque les mêmes spécificités que le Standard, mais avec des performances audiovisuelles bien plus importantes, la 5,1K jusqu’à 50 images par seconde, la 4K jusqu’à 120 images par seconde et une compression sans perte, en Apple ProRes 422 HQ et le D-Log en 10 bit.

Ce sont des informations destinées à un usage cinématographique, avec un SSD de 1To embarqué, car vous l’imaginez, le poids des images est très important pour conserver toutes leurs quintessences sans compression.

Information importante, mais je vous laisserais découvrir les packs, il est livré systématiquement avec la DJI RC Pro évoqué tout à l’heure, alors que ce n’est pas le cas avec le Mavic 3 Standard et Classic.

Modes de vols intelligents : justement, les Mavic 3 Classic, Normal et le Ciné qui représentent la gamme grand public ont tous les fonctions de vol intelligent :

  • le WayPoint Flight pour planifier un itinéraire de vol automatisé 
  • les Mastershots qui créent des séquences cinématographiques automatiquement pour ceux qui ne veulent pas s’embêter au montage, ils réalisent différentes figures autour de vous, où d’un point donné et vont ensuite les compiler en musique pour réaliser une vidéo, le top. 
  • les Quickshots avec des plans pré-programmés : la fusée, le cercle, la spirale, le Dronie…
  • l’Hyperlapse qui réalise une série de photo avant de les assembler pour faire une timelapse en mouvement et les modes panoramas : classiques, Sphère 360, Photo 360, grand-angle, etc. Tout ça apporte un plus, et vous pouvez même les transférer rapidement sur votre smartphone avant de les partager avec le QuickTransfer.

Voilà pour la partie des fonctionnalités ludiques de ces drones. Passons aux choses sérieuses si je puis dire, non pas que l’audiovisuel ne le soit pas, mais la gamme professionnelle est vraiment une ouverture vers de nouveaux usages.

Le Mavic 3 Enterprise

Premier du nom, car les autres portent aussi la sérigraphie de la gamme Enterprise, mais ils ont des terminologies différentes, M3T et M3M.

Le Mavic 3 Enterprise à aussi le capteur CMOS Hasseblad en 4/3, mais bridé. DJI segmente ses produits, ce n’est pas nouveau! La cadence sera limitée à 30 images par seconde uniquement et il n’y a pas les fonctions créatives que je viens d’évoquer, les Quickshots, les Mastershots, dronie, et compagnie. Tout juste les photos, intervallomètres et panoramas. 

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit! Pour la réalisation de petites vidéos de suivi de chantier, des photos pour les rapports périodiques, les inspections, ce sera très bien, ça reste un excellent capteur, même sans ces fonctions, juste pas fait pour la création audiovisuelle pour les videastes.

Mais, il a un vrai plus ce capteur sur le M3E, son obturateur est mécanique. Ceux qui font de la photogrammétrie me voient venir, c’est un vrai plus pour améliorer la qualité des rendus pour cet usage.

Le Mavic 3E embarque un second capteur téléobjectif de 12 Millions de pixels, jusqu’à 56 fois en zoom hybride, comme le Mavic 3, optique jusqu’à 7x puis numérique.

Le Mavic 3T

Il a 3 capteurs :

  • un grand-angle, équivalent à 24mm de 48 Millions de Pixels, d’1/2 pouce.
  • une télécaméra dont le capteur fait 1:2 pouce également, équivalent à 162mm de 12 Millions de Pixels avec un zoom hybride de 56x
  • une caméra thermique de 640 x 512 pixels radiométriques, avec une distance focale équivalente à 40mm.

Le Mavic 3M

Pour terminer, avant le débrief et les usages, il embarque le capteur Hasseblad 4/3 de 20MP, dont-ils disposent tous finalement, sauf le M3T, mais avec l’obturateur mécanique, comme le Mavic 3E, et surtout, ces 5 capteurs G R RE et NIR pour la photogrammétrie agricole, l’analyse.

Excellente transition pour terminer cet article par les usages, s’il vous paraissent évident pour beaucoup, on va refaire le point.


Quels usages pour la gamme DJI Mavic 3?

Le Mavic 3 Classic est excellent pour ceux qui veulent débuter en loisir avec du très bon matériel, ou professionnellement par la photo et la vidéo. 

Le Mavic 3 Standard présente d’ailleurs, depuis sa sortie, moins d’intérêt à part son zoom, mais il reste numérique, jusqu’à 28X, ce qui est très bien pour de petites missions d’inspections. Dommage qu’il ne propose pas un zoom optique plus important, un jour peut-être qui sait, ça améliorerait la qualité et son intérêt pour le contrôle et l’inspection. 

Le Mavic 3 Ciné, absent je vous le rappelle, il est un peu à part tellement ses utilisateurs et donc ses usages sont spécifiques et dédiés aux vidéastes cinéphiles, avec une qualité des rendus uniques et exceptionnels pour cette taille.

Le M3E de la gamme Enterprise : il fait de belles images, photo et vidéo, un zoom, plus puissant encore jusqu’à 56 fois et surtout son capteur à obturateur mécanique couplé au module RTK, il offre une précision centimétrique pour tous les travaux d’orthophotographie. Il sera également un bon choix pour les services étatiques qui souhaitent utiliser les accessoires de la gamme Enterprise et ils sont nombreux (haut-parleurs, torche LED, micro…).

DJI Mavic 3 Thermal

Le Mavic 3 Thermal : il est un peu à part, il est vraiment dédié lui aussi, comme le Mavic 3 Ciné, mais dans un autre domaine bien sûr, comme son nom l’indique, le thermique. Avec ces caméras, il sera idéal pour les diagnostics thermiques, les contrôles périodiques de panneaux photovoltaïques ou solaires, leur maintenance, l’inspection d’ouvrage avec son zoom également pour préciser l’analyse des relevés thermiques.

Le Mavic 3 Multispectral : il est dédié à l’agriculture avec le relevé des données pour préparer l’itinéraire 3D des drones de traitement Agras ou analyser les cultures pour améliorer leur rendement ou expertiser un passage de gibier, des nuisibles, une maladie… et en plus, avec le capteur 4/3 à obturateur mécanique et le module RTK, il supplante le M3E. Il lui manquera juste le zoom, c’est une concession pour ajouter le multispectral, à vous de choisir.

Drone pour la photogrammétrie agricole : le DJI Mavic 3 Multispectral

Les M3T et M3E sont très intuitifs à l’usage, leur écran se splitte, comprenez se sépare en deux parties, pour afficher à la fois les données dans le spectre visible, vue caméra classique, RVB et l’autre partie en caméra multispectral ou thermique selon le modèle. 

C’est très agréable pour expertiser et analyser en direct avec votre client, pourquoi pas en direct via le port HDMI dessous la radiocommande.

Et même, j’oublie toujours de le rappeler, la compatibilité désormais de la gamme Mavic 3 Enterprise avec l’appli-logiciel FLIGHTHUB 2 qui vous permet de diffuser en direct dans le monde entier via même votre propre serveur pour une connexion cryptée entièrement sécurisée, ou passer par les serveurs DJI : gestion des missions, planifications des trajectoires, idéal pour les suivis de chantier. 

D’ailleurs, les Mavic sont bien sûr compatibles aussi avec les logiciels dédiés comme DJI Terra pour la photogrammétrie, DJI Thermal Analysis Tool 3 pour la thermographie, DJI SmartFarm, le petit nouveau pour la gestion d’exploitation agricole, et leurs SDK sont ouverts au développement de futures applications par des développeurs externes, ce n’est que le début.

On va poursuivre avec un zoom par machine pour celles que je ne vous ai pas encore fait découvrir. En attendant, si cet article vous a plu, n’hésitez pas à vous abonner à notre Newsletter afin de ne rien rater des nouveautés. 

Si vous avez besoin de plus d’infos sur ces drones, contactez Flying Eye, je les remercie. Ils m’ont prêté le Mavic 3 Multispectral, c’est celui qu’il me manquait, et franchement je sais pas si je vais leur rendre…  

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