Améliorer vos images de Mavic Air 2
Je vais vous parler lunettes de soleil dans cet article ou plutôt, vous l’aurez compris en lisant le titre, filtres pour le drone DJI Mavic Air 2.
Ce n’est pas la première fois que vous en entendez parler. Je vais en surprendre plus d’un!
- Pourquoi sont-ils indispensables sur ce drone en particulier?
- Pourquoi j’ai choisi ce pack Freewell pour mon utilisation quotidienne lors de mes réalisations clients comparés aux DJI et aux PolarPro?
Je vais vous donner mon avis et vous partager mon expérience terrain.
Cet article est issu de la vidéo test proposée sur la chaine. La retranscription peut comporter quelques passages qui nécessiteront de la visionner.
Si vous avez récemment acquis un drone DJI Mavic Air 2, ou que vous vous apprêtez à le faire, et que vous vous intéressez de plus en plus à la qualité de vos réalisations, de vos créations audiovisuelles ou photo. Je vais vous présenter ce qui pour moi est le premier accessoire à acquérir avec le Air 2 et pourquoi, malgré l’achat d’un premier set de filtres, les DJI avec le pack combo – et la chance qui m’a été offerte de le comparer au set PolarPro – j’ai choisi de chercher ailleurs pour m’offrir le meilleur résultat possible, avoir une palette pour l’affiner mes choix. Ce sont les filtres Freewell qui m’ont convaincu.
Cet article sera composé en 3 parties :
- un rappel pour les passionnés « Expert », ou ceux qui sont déjà abonnés à la chaine: Pourquoi utiliser un filtre, la raison technique.
- la découverte de ce pack complet Freewell, une présentation de sa composition. L’objet de la vidéo ne sera pas de le comparer avec les sets des fabricants DJI et PolarPro, que j’ai également testés et utilisés en missions, mais vous comprendrez que mon avis en tient compte si j’ai décidé de vous présenter ce set plutôt que les autres pour les exigeants.
- on découvrira lors de cas concrets, tournés sur le terrain, les images « avec » et « sans » ces filtres. Je n’ai pas pu trouver toutes les situations d’utilisations. Ça aurait de toute façon eu peu d’intérêts. Je vous l’expliquerais! Seulement les principales pour vous permettre de juger par vous-même et constater le gain de qualité et la nécessité pour combler en partie les défauts du drone Mavic Air 2.
Pourquoi utiliser des filtres pour son drone et particulièrement le Mavic Air 2?
Lorsque l’on acquiert un drone à ce tarif, on souhaite forcément réaliser des images de qualité. Outre le pilotage pour réussir son cadrage, c’est la qualité de nos images qui nous préoccupe le plus.
Si les professionnels savent parfaitement de quoi on parle, et oui, certains pilotes professionnels comme moi utilisent le DJI Mavic Air 2 (dans certains cas), en intérieur par exemple, ou pour des plans aériens additionnels dans certaines réalisations.
Pour réussir une belle image qui sublimera encore plus les paysages que vous filmerez, prenez le temps de régler votre caméra, utilisez-là en mode manuel. Surtout que le mode automatique du Mavic Air 2 n’arrange rien et génère très souvent du bruit en jouant sur les ISO en faible luminosité durant les « Golden Hours », les plus belles heures de la journée au lever et au coucher du soleil, dont beaucoup d’entre vous sont friands. Ils seront donc déçus que ce drone – puisque c’est son point faible – ajoute facilement du grain numérique, du fourmillement dans les noirs.
Lors de vos missions ou balades, prenez du temps pour cette étape de réglages manuels, elle est aussi importante que de veiller à votre sécurité et à une bonne préparation de vos vols.
▶︎ Rappel des réglages généraux
On filme toujours en 24 ou 25 image par seconde, 25 c’est la norme en Europe, même si le drone monte à 60 images par seconde – en utilisation normale je parle, pas lors de vos captation en slowmotion bien sûr, où vous pourrez choisir 50 images par seconde pour ralentir votre image 2 fois pour obtenir 25.
Le choix de 25 images par seconde c’est donc une première base pour créer l’effet phi qui permet au cerveau, lorsqu’il visionnera ces images, de reproduire le flou de mouvement naturel et donc reproduire la réalité.
Augmenter le nombre d’images par seconde accentuera les détails et les images seront moins naturelles, mais pour du suivi de chantier, des prestations techniques par exemple, ce choix pourra quand même s’avérer judicieux dans certains cas.
Dans mes précédents articles et vidéos, certains m’ont interrogé sur la raison pour laquelle je vous conseillais ces réglages de façon formelle? Comme-s’il n’y avait pas d’autres possibilités…Certains échanges argumentant qu’ils filmaient en « Full Auto », tout automatique, avec le DJI Mavic Air 2, à 60 images par seconde et qu’ils étaient très satisfaits du résultat!
Mes enfants regardent Peppa Pig en dessins animés, c’est des gros ronds moches, mal dessinés qui se prennent pour de vrais cochons. Et pourtant ça plait à mes enfants et ça fait un carton dans le monde entier.
Faites ce qui vous fait plaisir!
Mais quoi que vous choisissiez, une nouvelle fois je le répète, votre cerveau ne reproduira pas cette belle image, cette osmose entre les paysages, si vous êtes au-dessus de 25 images par seconde. C’est un fait certain et vous vous passez d’un réglage capital. Mais attention, dans tous les cas, ce n’est pas le seul pour y parvenir!
La vitesse d’obturation, le shunter speed, l’obturateur vient scinder la quantité de lumière entrante, comme nos paupières, c’est imperceptible, pour conserver l’effet recherché, l’effet d’une image cinématographique. Il doit être réglé au double du nombre d’images par seconde, c’est simple : 25 images par seconde, donc shunter speed à 1/50e. Et 1/100e lorsque vous préparerez des images en slowmotion que vous tournerez en 50 images par seconde par exemple.
On a presque fini ce rappel : il nous reste deux réglages possibles sur la majorité des caméras.
Facile à régler, les ISO ! On indiquera toujours le chiffre minimum 100. Surtout pour ne pas réveiller le handicap de ce Mavic air 2 en ajoutant très rapidement du grain.
Et enfin l’ouverture « Aperture » – Ha! ces anglicismes en vidéo, mon ancien prof de français doit être en PLS s’il m‘écoute. Il n’acceptait déjà pas qu’on dise « sandwich » durant les pauses. Je n’ai jamais su si c’était pour ma santé ou son amour pour le Canada, que je partage!
Bref, sur le Air 2, c’est là que ça coince sérieusement. C’est là que DJI nous pousse à nous tourner pour les pilotes professionnels, vers d’autres modèles de drones, plus performants, si tant est que le capteur d’un demi-pouce Sony de ce drone satisfasse déjà un minimum votre utilisation.
Car ce Mavic n’offre pas la possibilité de modifier son ouverture et donc la quantité de lumière entrante, en ouvrant pour travailler également la profondeur de champ, pour conserver notre ratio avec la vitesse de l’obturateur.
L’ajout d’un filtre devient primordial! …encore faut-il choisir le bon.
Il va falloir suffisamment assombrir notre image, complètement surexposée après les réglages précédents, pour capter avec une exposition parfaite, une belle image, ni trop sombre ni trop claire.
La base c’est quand même de prendre le temps de faire ces réglages avant de décoller. Peu importe qui vous êtes et quelles sont vos compétences dans ce monde immense et sans cesse en mouvement de l’audiovisuel et de ces créateurs.Vous ne pourrez pas y couper!
Bien sûr, avec l’habitude, on passera rapidement de 10 minutes de préparation à 1 minute, surtout avec le Mavic Air 2 qui est idéal pour ça.
Dans le pack more combo de chez DJI, pour Mavic Air 2, si le set de 3 était plutôt satisfaisant à premier vue, faute de mieux, avec le choix d’y mettre un ND16, 64 et 256, il sera inutilisable trois fois sur quatre, en l’absence d’un 8 et d’un 32 et viendra abolir nos espoirs d’exposition idéale avec une image parfois sous-exposée, parfois surexposée.
J’ai rapidement dû chercher mon bonheur ailleurs et c’est le set Freewell qui m’a convaincu, on va voir la présentation détaillée: 4 d’entre eux vont déjà nous offrir un choix idéal pour 80% des utilisations, et les autres ne seront que du bonus.
Je vous informe que ces tests seront tous réalisés en mode normal (on croirait une annonce SNCF). Je pense que ceux qui colorisent leur image en utilisant des luts avec le profil colorimétrique D-Cinelike ne seront pas à convaincre de la nécessité d’avoir un bon set de filtres de qualité pour sublimer leur image.
Parenthèse : Si certains d’entres-vous débutent dans l’utilisation du profil D-Cinelike avec le DJI Mavic Air 2 – celui que je vous conseille d’utiliser bien sûr – prenez garde à ne pas vous faire surprendre lors des tournages avec les filtres polarisés ils accentuent les couleurs, on le verra tout à l’heure. Soyez prudents, ne modifiez pas vos réglages habituels en vous fiant à votre retour qui sera légèrement plus contrasté bien que les images de base du profil soient plates.Ça nous est tous arrivés!
Présentation du pack de 8 filtres Freewell All Day pour Mavic Air 2
▶︎ Les filtres ND et ND/PL
Il faut tout d’abord savoir que ce n’est pourtant ici qu’une partie de leur collection.
Il y a également des filtres « Pose Longue » pour la photographie en général, un filtre « Clear Light » pour la nuit et des filtres variables, alors que ce set ne contient que des fixes.
Vous trouverez rarement des pros qui utilisent les filtres variables, l’erreur de réglage ou l’oubli guette et on a tous rencontré un jour ou l’autre des problèmes avec. Ils sont souvent décriés pour leur vignetage, mais ils sont beaucoup plus pratiques et moins onéreux qu’un pack. Il faut en tenir compte pour vous si votre budget est limité.
Dans ce pack, il y en a pour tous les gouts en vidéo et en photo, un filtre polarisant plus les ND, pour jouer sur votre temps de pose. Mais il n’y a pas de filtres pose longue considérer à partie du ND128, 7 stops. Le ND64 pourrait vous initier à cette pratique pour les photographes, je sais que j’en parle trop peu, ça viendra. Dans le pack DJI que j’évoquais au début de cet article, il y a un ND256. Je ne l’ai encore pas utilisé pour cela, et c’est bien dommage…
On va trouver dans ce pack Freewell : 7 filtres Neutre, Neutre Density, dont je rappelle que la seule fonctionnalité est de limiter l’entrée de lumière, donc de plus en plus sombre, plus le chiffre est élevé, trois d’entre eux sont ND 4, 8 et 16 et quatre autres on un traitement identique, mais sont également polarisant NDPL 8, 16, 32 et 64.
Ils permettront de réduire le rayonnement du soleil sur l’eau, les roches, la neige, les surfaces plastiques et le ciel qui contient de l’humidité lui aussi, et donc qui les contrastera davantage en supprimant ces reflets blancs, reflets du soleil. Je les ai comparés et j’y reviendrais dans les résultats de mes tests terrain.
L’utilisation des filtres ND/ PL est clairement indispensable et sans équivoque pour avoir une belle image lorsque vous êtes sur le littoral, un lac ou lorsqu’il y a de la neige.On l’oublie trop souvent, mais en architecture, j’en utilise également pour filmer des bâtiments, pour un groupe français qui fabrique des menuiseries extérieures, ils suppriment une grande partie des reflets sur les vitres, pensez-y aussi les pros dans ces moments!
Attention cependant, cela dénature l’image en biaisant la réalité. En France on adore les images saturées, alors faut-il encore se poser la question?
Ces reflets disgracieux ne sont pas récupérables en post-production, non non non, quand c’est blanc, c’est blanc… Vous privilégierez donc quasi systématiquement, les ND/PL et ça tombe bien, ils sont plus nombreux dans ce pack.
C’est justement la raison du choix de ce panel en base par le fabricant Freewell.
▶︎ Le filtre CPL
Il y en a un autre, le petit dernier, celui que jamais vous n’auriez pensé acheter, ou en tout cas acheter seul pour de la vidéo! Le filtre CPL, polarisé, n’a aucun effet sur la quantité de lumière, mais il est uniquement polarisant, pourquoi ?
Pour les photographes en premier lieu bien sûr, pour ceux qui filment en toute auto dans certaines situations. On n’a pas toujours l’envie ou le temps de faire les réglages, en captation live également, bientôt possibles avec la compatibilité promise du DJI Mavic Air 2 avec le DJI Smart Controller par exempe!
Il sera utilisé surtout durant les Golden Hours, ce filtre va ajouter du contraste, et sauver en partie les performances du capteur en contrastant l’image, ce sera vrai bien sûr pour les couchers de soleil, le long de la mer, par exemple… Bravo Freewell de nous l’avoir imposé dans ce pack, il servira c’est certain, notamment aux heures où les ND ne sont plus nécessaires!
Attention, dans certains cas, les filtres polarisants ne sont pas les bienvenus, et c’est la raison de la présence des autres sans ce traitement. Notamment lorsqu’il y a de la brume en hiver et que vous tentez de la sublimer.Lorsque vous filmez une cascade ou les chutes du Niagara, n’utilisez pas de filtre polarisant qui viendrait atténuer et enlever la beauté recherchée. C’est comme utiliser un filtre ND en laissant sa caméra en mode automatique, elle compensera la perte de luminosité subie et endommagera l’image, là aussi prudence at attention au manque de vigilance et aux habitudes!
Tarif pack de filtres Freewell
Je trouve ce pack très complet, c’est l’occasion de satisfaire le plus grand nombre d’utilisateurs et aussi dans la plus large utilisation. À un certain prix quand même, 130 € TTC, 109 environ HT pour les pros, mais on en a pour son argent et ça le place selon moi, sur la première marche face à ses concurrents et ce malgré la suprématie autoproclamée des filtres PolarPro, de plus en plus discutables, selon moi.
Le terrain
Si tant est que vous n’ayez pas encore compris ma satisfaction, car contrairement à de nombreux autres accessoires ou matériels, tester des filtres et partager ces résultats dans un article c’est plus subjectif et difficile.
Il est nécessaire de procéder toujours à leur installation, avec délicatesse, drone éteint pour ne pas forcer sur les moteurs et les endommager. Je déconseille cette manipulation à toutes les personnes équipées de deux mains gauches et 10 pouces. Il faut y aller cool, les filtres sont robustes, mais la manipulation est délicate et fragile de par la taille des pièces à manipuler.
Une fois que vous aurez collé les traces de vos gros doigts dessus, en espérant que ce soit sur la face extérieure, on pourra les retirer avec la lingette en microfibre fournie.
Pour leur poids, pas d’inquiétude particulière, il est identique à la protection d’origine environ 1 gramme, aucun souci avec les moteurs de la gimbal et la calibration de celle-ci.
Sur le Mavic Air 2, on peut indifféremment positionner les filtres dans un sens et dans l’autre contrairement à de nombreux autres modèles. Je n’ai pas déterminé si ce sens était important, dans l’ignorance, j’y ai été vigilant. Cependant, sur les filtres polarisés, vous ne devrez pas oublier de régler la variable du filtre, à savoir, la marque toujours orientée vers le soleil!
Clairement, en vol, avec les aller-retour en captation, ce n’est pas simple. C’est également là que se joue votre professionnalisme et la qualité de vos réalisations par l’ajustement de ces réglages.La partie haute du filtre destinée au ciel étant traitée de façon plus importante, pour orienter les rayons du soleil, elle doit bien être en position vers lui.
Lors du choix de votre filtre, il vaut mieux une image légèrement sous-exposée, plus sombre, qu’une image sur-exposée, trop claire. Si l’une est rattrapable facilement en post-production, ce ne sera pas le cas de l’autre.
Je rappelle que pour ces tests, j’ai positionné mon choix sur le mode normal, pour le choix de la colorimétrie, à une cadence de 25 image par seconde, un obturateur à 1/50e donc, les ISO au minimum à 100 et qu’on n’a pas la possibilité sur le DJI Mavic Air 2 d’influer sur l’ouverture puisqu’elle est fixe à 2.8.
▶︎ Début des tests terrain
J’ai d’abord débuté ces tests sans filtre. On voit que l’image c’est inexploitable, à moins d’activer le mode automatique, mais de perdre l’effet cinématographique. Bien que le capteur SONY fasse très bien son travail, si la cadence reste inchangée, le shutter speed va s’adapter et ne plus correspondre à nos attentes.
On est au-dessus de l’eau, donc il n’y a pas photo, si pour commencer on test le ND16, on verra de suite que le NDPL16, polarisé s’en sort mieux en supprimant les reflets blancs sur l’eau et le ciel ce qui va les contraster et les saturer légèrement.
On peut cependant constater que c’est exploitable mais légèrement trop clair, sans parler de surexposition quand même dans cette situation. On va chercher à avoir plus d’aisance au montage comme je vous le disais tout à l’heure, et on va mettre le NDPL32.
Nul besoin de poursuivre la démonstration sur les filtres de densités neutres, non polarisés, les deux autres ND du pack, le ND4 et ND8, vous avez déjà compris leur intérêt lorsqu’il y a peu de lumière le matin ou en fin de journée.
Dans cette scène test, au lac de Villeneuve de la Raho dans les Pyrénées-Orientales, avec le soleil au zénith, c’est le NDPL32 qui va clairement être mon choix. Il me permet de conserver mes réglages tout en offrant des informations dans les noirs, donc légèrement sous exposé, sans incidence comme me le confirme mon histogramme à gauche donc pour les noirs, il n’est pas à 100%.
J’ai monté ensuite le NDPL64 pour vous montrer la différence bien sûr, cette fois-ci c’est trop sombre, plus d’information dans les noirs, même la post-production n’y changera rien. À l’extrême, je l’avais oublié, je vous le montre quand même, le NDPL 8 est beaucoup trop clair et c’est surexposé, on ne voit plus de détail dans le ciel.
Un petit rappel des 4 filtres NDPL en fenêtre et pour terminer, mon petit chouchou, idéal dans ce cas, mais je sais qu’il m’accompagnera lors de mes voyages pour les prises de vues photo ou le mode automatique en Run & Gun.
Je ne sais pas si sur ce rush on peut vraiment s’en rendre compte, mais l’effet cinématographique n’est pas conserver puisque la vitesse du shunter speed à augmenté pour s’adapter à la luminosité en mode auto donc.
Pour conclure, un mot sur leur colorimétrie. Ils ont très légèrement tendance à accentuer les verts, mais c’est très subjectif comme retour là où les Polarpro, fidèles à leur signature, tireront sur les jaunes, le côté or.
C’est tellement subtil comme différence que je vous avoue parfois ne pas en être convaincu lorsque je constate la qualité du traitement, fidèle à la réalité, pour ce qui est des non polarisés. Tous ces fabricants font aujourd’hui des produits de très bonne facture et sont à la hauteur de leur réputation.
Freewell les garantit d’ailleurs à vie.
La qualité de finition de la boite également pour les transporter et les manipuler est à souligner, elle est idéale, on ne s’emmêle pas les pinceaux, c’est très plaisant qu’il y ait là aussi un soin de fabrication.
Les filtres, en conclusion?
Je confirme que c’est pour moi le premier accessoire indispensable à son drone DJI Mavic Air 2. J’espère avoir été le plus complet possible et avoir répondu à toutes vos interrogations, j’adore partager mes coups de coeur produit lorsqu’il le mérite comme celui-ci et je tâcherais de continuer si ça vous plait.
Je vous en présenterais rapidement d’autres pour ce drone comme je vous l’ai promis, abonnez-vous si ce n’est pas déjà fait, ça me motive et ça me fait plaisir.
Donnez-moi votre avis également, vos retours sur ce produit, sur ces filtres si vous les utilisez, ou pour toutes autres questions d’ailleurs, j’essaie de répondre à tous les commentaires.
